Le concert s’élance avec John Adams dans un tourbillon typique de la « minimal music » où pulsations électrisantes et couleurs orchestrales vous propulsent à toute vitesse. Une œuvre-éclair, virtuose et jubilatoire, pour ouvrir la saison en trombe ! Puis, place à la poésie et à la bravoure de Franz Liszt : entre fulgurances diaboliques et cantabile envoûtant, le Concerto pour piano n°1 révèle toute l’étendue du génie lisztien, magnifié par le toucher à la fois scintillant et perlé de l’immense Bertrand Chamayou. Enfin, les harmonies brutales et la force primitive du Sacre du printemps de Stravinsky, nous procurent toujours un choc inévitable. Préparez-vous à une expérience orchestrale puissante, virtuose et inoubliable !